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Ethical Considerations When Using Social Media for Evidence Generation

Ethical Considerations When Using Social Media for Evidence Generation

Author(s)

Gabrielle Berman; James Powell; Manuel Garcia Herranz

 

Publication date: 2018-20

Publication series:
Innocenti Research Briefs

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(PDF, 0.23 MB)(PDF, 0.56 MB)

Abstract

As of January 2017, 2.78 billion people worldwide were classified as active social media users. Of these users, 1.87 billion use Facebook. Thirty-nine per cent of Facebook users are between the ages of 13 and 24 (approximately 729 million young people). Available data also show that in 2014, approximately 31 per cent of users of the top five social media platforms were aged between 16 and 24 years. With the enormity of this coverage as well as over 40 per cent growth in usage from the previous year in countries like India, UNICEF has and continues to look at ways to use these platforms and the data generated to connect with and understand the reality of children today and to ensure more child-centred/user-centred policies and services. This brief provides an overview of the critical ethical considerations when undertaking evidence generation using social media platforms and using third-party data collected and analysed by social media services. It is supplemented by checklists that may be used to support reflection on the ethical use of social media platforms and social media data. This brief is based on a more in-depth Innocenti Discussion Paper which provides further guidance and tools.
Available in:
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 L’amélioration de l’accès de tous les enfants en âge d’être scolarisés à une éducation de qualité est l’une des priorités du Gouvernement de Madagascar. Le Plan sectoriel de l’éducation 2018-2022 définit des objectifs ambitieux dans ce sens, mais d’importants défis restent à relever pour améliorer l’apprentissage et la rétention scolaires. Cette note de politique générale - sur les ressources et infrastructures spécifiques qui pourraient améliorer le système éducatif malgache - fait partie d'une série qui présente les principaux résultats de la phase quantitative de la recherche sur la déviance positive menée au Madagascar dans le cadre du projet Data Must Speak (DMS). En fusionnant et en analysant les ensembles de données administratives existants au Madagascar, cette série met en évidence les ressources spécifiques et les facteurs contextuels associés aux bonnes performances scolaires au Madagascar. Plus important encore, elle vise à informer le dialogue politique et la prise de décision au Madagascar et dans d'autres pays intéressés.  DMS - une initiative mondiale mise en œuvre depuis 2014 - vise à combler les lacunes en matière de preuves pour atténuer la crise de l'apprentissage en utilisant les données existantes. La recherche DMS est cocréée et mise en œuvre conjointement avec les ministères de l'éducation et les principaux partenaires. La recherche DMS s'appuie sur des méthodes mixtes et des approches innovantes (c'est-à-dire l'approche de la déviance positive, les sciences du comportement, la recherche sur la mise en œuvre et la science de la mise à l'échelle) pour générer des connaissances et des enseignements pratiques sur " ce qui fonctionne ", " pourquoi " et " comment " mettre à l'échelle des solutions de base pour les décideurs politiques nationaux et la communauté internationale plus large des parties prenantes de l'éducation.  La recherche DMS est actuellement mise en œuvre dans 14 pays : Brésil, Burkina Faso, Tchad, Côte d'Ivoire, Éthiopie, Ghana, République démocratique populaire lao, Madagascar, Mali, Népal, Niger, République-Unie de Tanzanie, Togo et Zambie.
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Nine out of every 10 refugees arriving in host countries from Ukraine are women and children. Only 1 in 3 of Ukrainian refugee children are enrolled in early childhood education and care services. This emphasizes the need for expanding and strengthening early childhood education systems to ensure sufficient access for all children, and the integration of Ukranian refugee children in the host-community. These briefs offer recommendations for policymakers on ways to expand services, and how to facilitate the integration of refugee children and their families. Strategies include limiting the barriers that may hinder refugee children's access to ECEC settings, capitalizing existing physical and human resources to address gaps in service delivery, in addition to the inclusion of refugees in national and sub-national plans, data systems and financing, adapting policies and programmes to ensure considerations are made for refugee children.